Pourquoi devez-vous devenir auto-entrepreneur ?
Le statut d’auto-entrepreneur séduit bien des gens de par ses particularités qui présentent plusieurs avantages à tous. Le but même de la mise en place de ce statut est de simplifier les formalités qui s’avèrent trop lourdes dans la création d’entreprises. En tout cas, il faut bien étudier l’équilibre entre les avantages et les obligations imposées avec ce statut.
Les avantages du statut d’auto-entrepreneur
Les principaux avantages du statut d’auto-entrepreneur sont avant tout l’obtention du titre en très peu de temps. L’acquisition d’une immatriculation pour ce statut ne suit pas les mêmes procédures que celle des autres régimes d’entreprise. L’auto-entrepreneur est en plus exonéré de plusieurs impôts comme la TVA, les charges déduites par l’État et les impôts sont calculés uniquement en fonction du chiffre d’affaires et la liberté de changer de statut à tout moment.
Statut libre et cumulable avec d’autres régimes
Le statut d’auto-entrepreneur est accessible à tous, car il n’impose aucun critère de sélection. Quoi qu’il en soit, il n’est pas adaptable à tous types d’activités, c’est pourquoi il faut se renseigner avant de choisir son secteur d’activité pour devenir auto-entrepreneur. Les professions libérales règlementées comme le médecin, l’avocat ou l’expert comptable, les artistes-auteurs ne peuvent pas être soumis au régime d’auto-entrepreneur (voir la liste des professions accessibles). Sinon, on peut cumuler le statut d’auto-entrepreneur avec celui de salarié tant que les activités réalisées ne sont pas les mêmes.
Modalités d’impôts intéressantes
Les impôts et les cotisations sociales imposées à l’auto-entrepreneur sont à calculer exclusivement à partir de son chiffre d’affaires. D’ailleurs, il paye un pourcentage plus léger que les entreprises en matière d’impôts. Puis, l’auto-entrepreneur est libre de choisir la périodicité de ses charges sociales puisqu’il peut les payer par moi ou par trimestre. À titre d’information, les impôts sont à 1 % du chiffre d’affaires et les charges sociales à 14 % pour les ventes de marchandises ou les propositions de prestations.
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